Music Park Newsletter N°26

Super Corona

Ohé moussaillons!

Plus fort que toi, plus fort que moi, plus fort que nous, plus fort que tout!! Il n’a peur de rien, fait reculer les hommes et leurs gouvernements. Fini la réforme des retraites, fini les gilets jaunes, fini toutes les manifs, fini la rééévoluziooooonnnne!! Fini la vie pour un certain nombre! Il est impitoyable et sans pitié, nul ne l’arrête! Il inspire la crainte et la peur, féconde l’émotion et la douleur et pourtant il est si petit que nul ne peut le voir à l’oeil nu. A lui seul il renvoie l’humanité toute entière à la fragilité de son destin, à son incertitude existentielle, il se moque de la vanité des humains. Il est pourtant un lointain cousin dans notre évolution, frère de la terre, frère sans prière, ça sera lui ou nous qui finirons en bière.

- Hein quoi? Tu t’es mis à boire de l’alcool?!

- Ho là là! Je te parle de mise en bière, quand on te place entre quatre planches, dans un cercueil! Là tu viens de couper l’éloquence, to be or not to be, dont je me faisais fort de partager ses accents d’anxiétés et les tourments de cette piètre dramaturgie de la comédie humaine et de la misérable société du spectacle.

- Ha ouais t’as vu? Fini les spectacles!

- Hum...Je te parle pas du monde du spectacle mais la société du spectacle, en référence à Guy Debord. Nous sommes arrivés à l’ultime absolu du capitalisme, la peur se marchande à grand prix, et tout est centré sur elle, elle est notre conscience quotidienne, ou plutôt notre inconscience perdue, notre insouciance regrettée.

- Ouais... ouais... En attendant quand est-ce qu’on peut se taper une petite bière en écoutant un petit concert de Rock’n Roll?

- Et bien, c’est bien ça le problème, de confinement en couvre-feu en confinement on va finir en con fini ! Fini l’autre, non pas pour qu’il soit l’enfer mais la découverte, le plaisir, le partage car le bonheur ne vaut que s’il est partagé!

- Ouais enfin si c’est pour entendre tous ces homophobes dans les stades de foot crier «enculés!»…

- Et bien je crois que tu fais fausse route, je ne suis guère friand des stades de foot mais ils ne crient pas «enculés» par homophobie mais tout simplement parce que c’est un juron, une insulte de circonstance pour leur adversaire, un jeu défoulatoire, c’est vulgaire, mais ça rime avec bière.

- Quoi tu veux enterrer les joueurs de foot maintenant?

- Ho là là, tu me fatigues, là je parle de la bière, celle qui se boit.

- Mais quoi tu te souviens pas? il y avait une arbitre qui avait arrêté un match pour propos homophobes!

- Oui oui, c’est cela. Quand la bêtise gagne, on en arrive là. Moi je revendique le droit à être vulgaire. Ho enculé de pute vierge de sale race puting cong!

- Et en plus t’es raciste!

- Mais non «sale race» c’est un juron, c’est comme «enculé». Et puis pour être raciste déjà il faut reconnaître le concept de race chez les humains, et moi je le réfute. Mais tu sais il n’y a pas si longtemps j’ai dit ça à quelqu’un et cette personne ne m’a pas cru, et cette conne m’a traité de raciste enfin l’a sous entendu soutenu par un gars qui lis mal, pas méchant mais un peu limite. Bon l’histoire est un peu longue et surtout con. Ben avec des cons c’est forcément con!

- Racontes, racontes!

- Heu...Ouais tu crois?

-Si, si!

- Poufff…. Bon… Allez. C’était il y a déjà plusieurs mois, sur un réseau social, le pod Diaspsora de Framasoft, Framasphère. Je réagissais sur un article qui parlait de cette fallacieuse Sibeth Ndiaye, si mes souvenirs sont bons c’était sur sa capacité à raconter n’importe quoi, à mentir, et en l’occurrence comme porte parole du gouvernement Philippe. Alors je tentais à l’emporte-pièce de trouver une explication sur sa capacité à mentir. À l’instar de Bourdieu…

- Hein?! un mec qui bourre dieu?! Tu blasphèmes, fais gaffe tu vas te faire couper la tête!

- Hum… J’aime bien l’image mais je te parle de Bourdieu Pierre un sociologue. En gros il a théorisé la reproduction des comportements par catégories de classes sociales, concept défini sous le terme d’habitus. Et donc pour parler de Sibeth…

- Ha ouais, elle est si bête!

-Si bête je sais pas, mais elle nous a gravement pris pour des cons, ça c’est certains ! Donc me souvenant de plusieurs exemples de rencontre avec des Sénégalaises, (Sibeth est originaire du Sénégal), et le témoignage d’un ami à ce sujet, ce qui m’avait frappé chez elles, c’était ce coté très fier, et un peu pour tout et n’importe quoi, et particulièrement chez l’une d’elle. Bref je cherchais donc dans la culture de Sibeth une explication à son comportement, mentir alors que la vérité crevait les yeux.

- Heu... tu veux dire qu’elle était fière de mentir?

- Mais non, imagines une sénégalaise devenue porte parole du gouvernement français, c’est la réussite, et donc prête à tout pour sa place, sa réussite, tellement fière de sa réussite, faut-il l’expliquer? Et donc prête à dire n’importe quoi pour garder sa place, si fière d’être là où elle était. Bon après coup mon analyse rapide était à coté de la plaque car il vaut mieux à mon avis, après avoir lu sa fiche wikipedia, chercher du coté de sa famille de diplomate, ça serait plutôt donc entre l’arrivisme et du coup un certain habitus à mentir… Donc pour revenir à cette accusation de racisme, voilà qu’une pauvre connasse…

- Hou là, tu sors les gros mots !

- Ben me traiter de raciste c’est pour moi une insulte, donc c’est la monnaie de la pièce. Donc une pauvre connasse avec trois, que dis-je, deux neurones a sous entendu que j’étais raciste parce que je pointais du doigts le pays d’origine, c’est à dire la culture de ce pays, enfin pour elle une race, autant que je sache Sénégalais même pour un racialiste, ce n’est pas une race. Par ailleurs je lui ai quand-même indiqué, en parlant de la sénégalaise dont la fierté m’avait particulièrement frappé, que je l’avais aidé, et comme tout le monde sait les racistes adore aider les personnes des autres «races». Je mets des guillemets car pour moi ce concept de race est inepte, d’ailleurs dans une certaine mesure je suis anti-spéciste alors imaginer que je sois racialiste, laisses-moi rire! Mais cette histoire est bien révélateur de notre époque, et surtout de la supercherie et la confusion générale dans laquelle nous sommes. Grandes manipulations entretenues par les uns, que dis-je promues, et dont d’autres sortent leurs marrons du feu, genre Zeymour, mais là c’est pour une autre fois.

De la gestion coloniale par les français, ou l’universalisme français, à la gestion anglaise multiculturaliste (des colonies) que l’on retrouve aux États-Unis comme idéologie dominante porter par le parti Démocrate, les gogos foncent dans tous les sens se laissant bernés et fort de leur stupides indignations se croient les nouveaux chevaliers blancs des temps modernes. Que ça soit le féminisme dévoyé, l’anti-racisme mystifié, de la tolérance et de l’acceptation de la différence sexuel pour les LGBT devenue une propagande, et même une promotion, au point de perturber l’esprit des enfants qui ne savent plus où ils campent (au nom d’une soit-disant construction à déconstruire, là tous les animaux du monde entier se rient de l’être humain), tous ces pseudos combats sont des leurres afin de préserver le capitalisme, et surtout ceux qui dominent dans ce système, faisant oublié que la domination est d’abord sociale et que l’aspect sociétal, si il a une importance, si il devient l’unique combat alors cela devient une imposture. Pendant que les dominés se déchirent sur leurs différences (conditions sexuelles, couleurs de peau, tendances sexuelles,) exacerbées par les mêmes qui prétendent les combattre, les dominant peuvent dormir tranquille, nul ne viendra les déranger. Il est temps que les gens se souviennent qu’il y a deux camps, ceux qui pensent que l’homme domine l’homme et que c’est bien ainsi et alors tout est bon dans le cochon si j’ose dire. Avec d’autres mots peu importe ta condition, tu te bats pour dominer les autres et suivant l’histoire tu pars avec des avantages ou pas, le mieux étant de partir avec un gros héritage économique; dans ce monde il vaut quand même mieux être noir trans-sexuel et riche que blanc et pauvre. Et il y a le deuxième camp, celui qui pensent qu’il faut lutter contre la domination de l’homme sur l’homme, c’est la différence fondamentale entre la gauche, la vraie, pas les imposteurs (Démocrate aux US, Parti Socialiste en France mais aussi France Insoumise, etc.) et la droite. De là, ces fondations, on peut penser tout le reste. Sinon c’est soit un fourvoiement, soit une imposture, comment peut-on être féministe et faire la promotion de femmes en tant que patron d’entreprise dans une structure à hiérarchie verticale. Depuis trente ans le capitalisme soutient ce féminisme dévoyé car il ne remet plus en cause la domination de l’humain sur l’humain, le capitalisme peut régner. Enfin le capitalisme, «jolie» concept, concrètement ce sont des gens qui dominent, et si le peuple peut les oublier en se «chamaillant» sur des luttes artificielles, comme pourrait sans doute dire Marx, il n’y a pas plus beau piège, un piège nommé progressiste.

-Mais je vois pas le rapport avec Sibeth?

-Pour revenir précisément sur l’anti-racisme qui fait parti de cette manipulation générale, cet anti-racisme promu par cette pseudo gauche, de Touche à mon pote à Black Live Matter (même s’il ne faut pas nier des problèmes de racisme et particulièrement aux US), il s’agit entre autre de promouvoir le multiculturalisme, et donc de traiter quiconque, qui ferait la critique d’une autre culture, de raciste. Pour la pseudo gauche rien de mieux comme prétexte pour pouvoir s’opposer à la droite, puisque que cette pseudo gauche ne combat plus le capitalisme. Et puis ça sert d’autres desseins comme ceux de George Soros qui lui espère détruire les nations (là aussi c’est pour une autre fois), et rien de mieux pour les dominants, avec en filigrane la stratégie qui serre à des groupes aux intérêts parfois divergents « diviser pour mieux régner ». Car c’est l’évidence, le multiculturalisme n’est que division, et il ne s’agit pas de faire l’apologie du repli identitaire car une culture s’enrichit avec celui qui apporte ce qui vient de sa propre culture tant que celui-ci ne cherche pas à l’imposer. Tant que les apports entrent en accord avec les valeurs de la culture d’un pays, d’une nation, d’un peuple, appelles-cela comme tu veux, ce qui est important ce sont les valeurs. Je dois te dire que mon expérience en Inde m’a fait largement comprendre cela. Imagines un quartier en France où il y aurait majoritairement des gens issus des castes de brahmane, et toi habitant de ce quartier tu serais éboueur, et bien si ils commencent à imposer leur culture, (pas juste les chapatis à la place des baguettes), et donc leurs valeurs, toi tu n’es rien pour eux, à part le brahmane sympas (y en a toujours un) qui te dirait bonjour, les autres te toiseraient juste avec mépris. Crois-tu que c’est comme ça que l’on a l’habitude de se considérer en France ? C’est un changement de valeur, de comportement, de rapport humain, et crois-moi c’est certainement pas l’illustration de liberté, égalité, fraternité. Les cultures ne sont pas égales, et d’ailleurs on ne doit pas les considérer en terme d’égalité, car comment définir alors le concept d’égalité pour la comparaison? Sur l’éthique ? La moral ? Le droit économique, humain, etc.. ? On peut juste dire qu’elles sont différentes et pas forcément en adéquation. C’est pourquoi l’universalisme français est vain car comment imposer aux autres peuples ses propres valeurs sans être « culturocide », ou alors d’être traiter de raciste suivant un certain nombre de couillons qui en font leur choux gras.

-Quoi on a bien intégrer le coucous, la pizza, etc..

- Oui bien sûr tant qu’il s’agit de cuisine, de technique, de musique, etc. pas de soucis, mais lorsque intervient des valeurs, c’est une toute autre histoire. Alors pour ma part je suis universaliste, ou tout du moins je défends l’idée que les valeurs que nous défendons en France au-delà de liberté, égalité, fraternité, mais aussi démocratie, équité, solidarité, et bien d’autres valeurs comme la laïcité, la liberté d’expression, (enfin si elle pouvait être réelle, n’est-ce pas !) doivent être adoptés par tous ceux qui vivent en France, un universalisme à défaut qu’il soit pour le Monde, qu’il soit pour tous ceux qui vivent dans le pays où je vis. Et je n’ai certainement pas envie de vivre dans un pays où les valeurs changerait suivant la ville où j’irais. Et donc pour finir, enfin pour revenir sur cette cruche qui a sous entendu que j’étais raciste, je n’ai que pointé du doigts juste une valeur, (et encore surtout son importance)  quelque peu différente de ma propre culture pour tenter de comprendre un comportement. Mais tu sais le plus croustillant, en plus il semble qu’elle avait du mal a comprendre le second degré. Elle avait été voir ma liste de messages et elle avait trouvé un message sur un article qui parlait des calamités imposés par les israéliens aux palestiniens, j’avais écris « Palesti quoi, c’est quoi comme espèce », c’était justement en soutien aux palestiniens, dénonçant par là le traitement qu’on leur réservaient. Mais pour elle, elle avait la preuve que j’étais raciste, alors que si elle avait été voir plus loin dans les messages elle se serait rendu compte que j’avais déjà reposté cet article en ajoutant un article qui datait d’au moins 7 ou 8 ans et qui dénonçait l’attitude d’israéliens allant sur une colline avec des sièges et des pop cornes comme au cinéma voir des palestiniens se faire shooter à coup de bombe au phosphore blanc. C‘est quand même cocasse pour un mec qui boycotte les produits israéliens, dont les avocats alors que j’adore les avocats, pour protester contre la politique israélienne envers les palestiniens…. J’utilise d’ailleurs souvent l’expression dont je suis l’auteur le ghetto de Gazarvie.

-Quoi en plus t’es antisémie ! Antisémite ! Antisémite !

-Nan ye chuis pas nantisyémites! Nan, ye chuis pas antiyémites !

-Ben si, Nétanyaou il a dit que si tu boycottais les produits israéliens t’étais un antisémite…

-Nan ne nuis pas nantisyémites, snif ! Bon trêve de plaisanteries. Pour en revenir à la fierté et les différences de mentalité, de culture, induite par les valeurs, personnellement venant du nord, enfin la Lorraine, par exemple je trouve que le sentiment de fierté est plus fort chez les gens du Sud de la France que ceux du Nord. On peut observer que même au sein d’un pays les mentalités ne sont pas lisses et ont quelques divergences suivant les régions. Mais néanmoins il y a un liant par un ensemble de valeurs communes, et c’est ça qui fait que l’on puisse à peu près vivre ensemble sans trop se rejeter, quoique à une époque où j’habitais à Perpignan j’ai essuyé quelques rejets assez «pittoresques», mais comme j’aime souvent dire il y a les être humains et les catalans (second degré je précise pour les imbéciles). Mais en générale en France pour avoir changer de région et toujours dans le sud de la France, on t’emmerde pas trop parce que « tu n’est pas d’ici ». Ce qui n’est en soi pas du racisme, le concept de racisme est éculé et plus beaucoup de gens, en tout cas en France ne sont pas des racistes, il s’agit d’autre chose comme le rejet de certaines cultures parce qu’elles véhiculent des valeurs qu’ils rejettent, ce qui peut être légitime. Il serait donc bon de commencer par bien nommer les choses pour pouvoir en discuter avec raison. Et concernant la France, comme disait Nestor, un ami burkinabé, la France n’est pas un pays raciste, il faut dire qu’il avait vécu 10 ans auparavant en Italie.

Alors nous sommes dans un monde où la confusion et la manipulation des esprits est omniprésente, et pendant ce temps, justement, les dominants ont l’esprit tranquille avec un ordre social établi qui lui est peu remis en cause et même de moins en moins. D’ailleurs la plus part des gilets jaunes ne cherchaient pas à défaire le système, ils se plaignaient surtout que les miettes qu’ils avaient étaient de plus en plus petites. Que faudrait-il qu’il arrive pour qu’un électrochoc soit suffisamment puissant pour que les esprits se libèrent des chaînes et des pièges dans lesquelles ils sont? Même Supercorona ne peut rien!

Supercorona nous a-t’il tous unis contre lui, l’humanité toute entière trouvant une valeur commune comme dans les films américains lorsque des méchants extra-terrestres attaquent les humains et que dans un sublime élan nous devenions tous frères, et nous finissions par battre ces maudits extras-terrestres?! Vue la valse des vaccins je crois pouvoir dire avec certitudes que nous sommes restés égales à nous-mêmes. Chacun sa merde!

Alors moussaillons si le chemin reste long avant que l’on puisse parler d’unité de l’humanité, mais surtout de ne plus se laisser abuser par des idées et des systèmes trompeurs, sur le Music Park on a lavé le pont, changé les voiles, bouché les trous dans la cale, hisser le drapeau des pirates encore plus haut et fais le plein de nourriture pour fendre les océans de ce monde incertain mais plein de promesses!

En ce cas moussaillons, tirez les voiles, hissons le grand foc et souquez moussaillons, souquez !


Le Moussaillon


 



 

Le mot du Président

 

Ça y est, on ne l’attendait plus, la réouverture du site Music Park. Avec plusieurs mois de retard, on aurait fini par croire que Supercorona avait fait des siennes et anéantit toute force encore présente pour mener à bien la tâche. Et bien non ! Entre les aléas de la vie, et Zeus sait ce qu’il y en a en ce moment, et les aléas de la création d’un site web, car là c’est du tout neuf, le temps file tel une étoile dans le firmament. Alors si le design change, c’est aussi une partie du fonctionnement du site tant sur les fonctionnalités que sur les nouvelles propositions.

Pour commencer, il n’y a plus un site pour la communication et les infos d’ordre général, des ressources, etc. (music-park.fr) et un site pour la diffusion (musicpark.biz), tout est regroupé dans un seul site. Et surtout c’est avec le nom de domaine choisi au départ du projet music-park.org, ce qui permet de mieux faire comprendre ce qu’est Music Park. Il faut dire que musicpark.biz pouvait prêter à confusion, .biz alors que le projet Music Park c’est justement rejeter le petit monde du show-biz. Rien d’apparemment très important mais si le promeneur numérique survolait trop rapidement le site il allait peut-être se faire une mauvaise idée à cause du nom de domaine. Certes on espère toujours développer un réseau de diffusion et pouvoir récolter quelques fonds avec les cotisations afin d’apporter une aide à chaque artiste présent sur le site, mais l’axe central du projet est l’émancipation, l’indépendance et l’autonomie pour les artistes, donc le nom de domaine en .org est de ce point de vue là beaucoup plus clair.

D’ailleurs, ce qui change et qui est une véritable politique volontariste au sein du projet, c’est la proposition d’aider chaque artiste à avoir son propre site web, et quand on parle de site web, pas juste une page avec des liens qui renvoient sur les sites de diffusion, non bien au contraire, il faut que ça soit le site de l’artiste qui diffuse et qui gère toute la partie numérique. Si dans l’ancienne version de Music Part on pouvait avoir son blog, il s’agit maintenant d’aller plus loin en proposant une aide à chaque artiste pour qu’il ait son propre site.

Par ailleurs on obligera personne à boycotter Facebook ou Spotify et ce genre de site, mais c’est aussi un combat à Music Park. Ne plus donner de pouvoir à ces sites qui sont bien trop puissants et hégémoniques pour qu’on leur en donne encore. Et que faudra-t-il qu’il arrive pour que les artistes et les gens en général finissent par comprendre que les gens qui gèrent ces sites ont bien trop de pouvoir comme on a pu encore le voir dernièrement avec Trump. Trump est pour moi un personnage insupportable mais quand on voit que ces sites hégémoniques se permettent de faire taire les gens qui les dérangent en supprimant leur compte, où est la fameuse liberté d’expression? Pour revenir donc à l’aide pour chaque artiste de créer son propre site, c’est évidement avec un logiciel libre tel Drupal ou Worlpress, car il s’agit aussi de promouvoir le logiciel libre, promouvoir un autre monde.

Du coté public ou plutôt passionné, le site Music Park propose aussi de pouvoir écrire des articles sur la culture, la musique, les artistes, le logiciel libre et tout ce qui touche de prêt ou de loin à ces thèmes, bien évidement dans l’esprit du site, c’est à dire avec la ligne politico-pholosophique de critique du système et la promotion l’émancipation, l’indépendance et l’autonomie des artistes et du monde de la musique. Pour ça il faut faire une demande non formelle par le formulaire de contact. Ainsi votre statut sur le site passera en tant qu’éditeur, vous ouvrant la possibilité d’éditer des articles sur plusieurs types de rubrique.

Le projet Music Park a plusieurs fois été sur la sellette, continuer ou pas, pourquoi s’entêter alors que les musiciens sont bien trop égocentrés pour ne serait-ce que comprendre un tel projet? Oui, une grande majorité mais pas tous, et puis il faut parfois beaucoup de temps pour qu’une idée prenne un chemin populaire. Alors je continue à donner de l’énergie pour ce projet parce qu’il n’est pas impossible que le ruisseau devienne rivière.

J'en profite aussi ici pour vous dire que le site music-park.org recherche un dessinateur orienté bande dessinée. Il n'y a malheureusement pas d'argent à gagner, mais il pourra profiter de lien partant du site music-park.org renvoyant vers son blog, site, etc. Le "contrat" pourra être une création de site pour lui en échange de ses talents. Ceci reste à discuter. Donc si vous avez une connaissance motivé, vous savez où vous adresser. Non? Et bien ici ou à cette adresse : contact@music-park.fr.

À bientôt!